Extrait n°3
                  Chapitre 1.3 (pages 
                    28 à 36) : Méthode de recherche du décodage. 
                    Histoire de notre recherche.
                     C’est la focalisation sur les deux chronologies 
                    bibliques de «l’Épître» qui 
                    nous a orienté sur la bonne manière de tenter 
                    le décryptage de Nostradamus.
                       En effet, nous y avons constaté la possibilité 
                    de raisonner avec rigueur sur les dates de ces chronologies 
                    : une sorte d’oasis de possibilité de recherche 
                    dans le contexte de sables mouvants où la prose et 
                    les vers de Nostradamus nous emportaient habituellement.
                       Ainsi les données chiffrées des 
                    Centuries étaient comme des fils d’Ariane que 
                    l’on pouvait tirer à soi pour toute investigation 
                    méthodique aussi loin que l’on voulait ... sans 
                    perdre le fil du raisonnement, et surtout avec la possibilité 
                    de constater si, après manipulation, on a obtenu un 
                    résultat valable ou non.
                       Et l’important est bien de pouvoir ou non 
                    valider rationnellement un résultat obtenu.
                      Au contraire, sur un texte, sur une phrase, sur un 
                    mot, en dehors de la recherche anagrammique, toute tentative 
                    d’explication sémantique, grammaticale, analogique, 
                    littéraire ou autre, donne un résultat aussi 
                    insaisissable et aussi peu mesurable que l’original 
                    quant à sa validité.
                       Le premier principe de notre recherche appliquée 
                    fut donc de répertorier dans toutes les Centuries, 
                    textes et quatrains, les données chiffrées : 
                    dates en chiffres ou en lettres, durées en années, 
                    jours ou mois, numéros de millénaires indiqués.
                    (…)
                       Les deux « découvertes » du 
                    deuxième tri
                    C’est lors de la seconde lecture des phrases sélectionnées 
                    dans la Préface et l’Épître lors 
                    du premier tri et des 137 quatrains, que deux évidences 
                    fort différentes l’une de l’autre s’imposèrent.
                  
                        1 - Le cataclysme
                       Dans cette lecture condensée des Centuries, 
                    il ressortait avec évidence que Nostradamus nous parlait 
                    d’un cataclysme :
                       Dans la Préface : « ... avant l’universelle 
                    conflagration, ... avant la dernière conflagration, 
                    ... le monde s’approche d’une anaragonique révolution, 
                    ... où le grand Dieu éternel viendra parachever 
                    la révolution : où les images célestes 
                    retourneront à se mouvoir, et le mouvement supérieur 
                    qui nous rend la terre stable et ferme, ne sera pas éternellement 
                    incliné . »
                       Dans l’Épître : « ... 
                    et ce sera au moys d’Octobre que quelque grande translation 
                    sera faicte, et telle que l’on cuidera (= croira) la 
                    pesanteur de la terre avoir perdu son naturel mouvement, et 
                    estre abismée en perpétuelles tenebres, ... 
                    le monde approchant de quelque grande conflagration, ... »
                  
                        2 - Les « Princes du Temps 
                    »
                       Parmi les symboles zodiacaux, certains nous parurent 
                    curieux. Connaissant la pratique de l’astrologie, le 
                    vocabulaire de celle-ci nous était connu. Et malgré 
                    l’extraordinaire variété des termes employés 
                    à ce sujet par Nostradamus, les symboles zodiacaux 
                    utilisés pour indiquer des situations astrologiques 
                    étaient pour nous repérables. Par contre certaines 
                    expressions nous parurent étrangères à 
                    l’astrologie 
                       Nos connaissances ésotériques nous 
                    permirent de repérer une autre signification donnée 
                    par Nostradamus aux noms des planètes. Comme nous l’expliquons 
                    plus loin en ce livre, il s’agit de paramètres 
                    de repérage dans un découpage périodique 
                    du temps.
                       Nous avons personnellement baptisé « 
                    Princes du Temps » les symboles des planètes 
                    utilisées en ce sens par Nostradamus dans ses Centuries.
                  Où trouver 
                    le livre ?